mardi 17 mars 2015

Prochain arrêt...

Nous sommes rentrés en France. 
Inutile de vous dire que ça s’est fait dans les larmes. C’était très dur (et ça l’est toujours), mais la réflexion sur notre futur (et les salaires de merde en Espagne) ont eu raison de notre amour pour Madrid. J’en entends certains me dire « oui mais la vie est moins chère en Espagne et tu gagnes en qualité de vie ». Certes la vie est moins chère, mais pas de 50% ! Alors c’est bien joli de gagner en qualité de vie mais si tu n’as pas de quoi te payer des vacances, une paire de ballerines Repetto (marche aussi avec un sac de créateur ou tout autre objet inutile donc indispensable pouvant faire un trou de la taille de l’Antarctique dans le budget mensuel) ou quoi que ce soit faisant plaisir, cela en vaut il la peine ? 

Donc retour provisoire à Paris depuis janvier. A deux dans mon 38 mètres carré on se sent un peu à l’étroit après les 70 de Madrid ! On sait que c’est temporaire, alors on s’adapte, on modifie la disposition des meubles, on en vire, on crée des rangements…

Certains cartons ne sont toujours pas défaits que la nouvelle tombe, nous partons !! En revenant, j’avais demandé ma mobilité en province (comprendre : tracer une ligne divisant la France en deux entre Lyon et Bordeaux et prendre la partie Sud, voilà ! vous avez ma définition de la province pour une mobilité). Le responsable du service ne m’a pas du tout vendu le poste comme quelque chose de glamour et sexy (en général les gens te vendent un super poste fabuleux alors qu’en réalité il s’agit d’un poste pourri, donc là j’ignore ce que cela peut laisser présager…), mais après une courte réflexion je sais qu’une mobilité comme celle là je n’en aurai pas une autre avant au moins un an. J’ai accepté.

Depuis 15 jours tout s’accélère, la date de prise de poste moins de 3 semaines plus tard, la recherche d’appartement, les dispositions pour le déménagement… Dernier jour à Paris le 20 mars, ça se rapproche. Je ne réalise pas encore. 
J’étais contente de revoir mes amis et de faire découvrir Paris au macho ibérico, mais finalement on ne sera pas resté longtemps (pas suffisamment pour reprendre la carte sésame duo du grand palais). Je pense également que pour la dynamique de notre couple, partir vivre dans une nouvelle ville est une excellente chose. 

Je ne sais pas si cela signifie la fin de ce blog ou si je le continuerai. Il était dédié à mon expérience de vie à Madrid qui est, pour l’instant, terminée. Même si je suis triste d’être rentrée, je ne regrette absolument pas cet épisode de ma vie. Bien au contraire ! Et si c’était à refaire je repars demain sans la moindre hésitation !

Prochain arrêt : Lyon !

mercredi 31 décembre 2014

2014 en 12 moments (en fait 13, c'est la faute d'Eloy !!!)


Début janvier, calle madera, on sort de la crêperie, un des derniers soirs avant le départ d'une de mes meilleures amies, Emilie.


Ok Gina, t'es prête? on sort du métro va falloir s'équiper. C'est qu'il fait super froid en ce matin de février !!


Mati nous donne rendez-vous en mars pour voir les amandiers en fleurs :)


Eloy c'est comme Superman ! En bleu, assorti au métro :)


Avril et les balades au bord du fleuve.


Mai sous le soleil de Tenerife et ses plages de sable noir.


Emilie est de retour pour un week-end en juin, alors avant de faire 150km en expo et parc on prend des forces chez Mür !


Un week-end à Porto en juillet. Temps mitigé. A deux sous un grand parapluie, c'est romantique ♥ 


Cette année on a réussi à bien la voir cette fout*e Virgen de la Paloma au 15 août ! L'occasion pour Fred de goûter les spécialités : sandwich aux intestins de poulet !! Jaime, Irina, Emma et moi on est restés dans le gras classique ;)


Le ballet Sorolla avec Gina, c'était le moment merveilleux de septembre !


Audrey en visite le seul week-end de l'année où il fait un temps pourri ! Quelques churros en octobre et on tiendra jusqu'au printemps !


Novembre, le mois des dindes (et des donnuts) à Segovia, avec Micha et Gaël


Les retrouvailles avec mon cher Khalil, où comment il se marre en voyant les marchés de Noël espagnols :)

Mais en fait toute l'année a été parsemés de supers moments et de petits bonheurs : les réunions de café tandem, les apéros, les teatimes et les balades, les après-midi au bord de la piscine. Un énorme bisous à tous mes amis qui ont rendu cette année magique ♥

mercredi 22 octobre 2014

Test culinaire ou comment flinguer ses papilles !

Voici donc le test que vous m'avez réclamé ! (Je vous revaudrai ça, soyez en sûrs)
Mais comme j'étais d'humeur joyeuse, j'ai décidé de tester également les confiseries typiques de la Toussaint et aussi une pâtisserie ! (demain je remonte sur mon stepper pour éliminer tout ça, là j'ai juste envie de faire la sieste)
Donc commençons par los buñuelos de viento.


Comme ça on dirait des choux. Mais en fait il s'agit de choux frits à la fleur d'oranger !! (Ben oui, on est en Espagne) Nous avons goûté la version crème patissière et bon ok c'est assez gras (mais souvenez-vous, le gras c'est le goût !) mais c'est pas mauvais du tout, bien au contraire ! Il est fort possible que j'en reprenne une prochaine fois.

Test suivant : la milehojas de merengue.



Soyons honnêtes : c'est pas terrible. Le feuilletage ne cassait pas 3 pattes et un canard et la meringue au milieu était à mon goût trop sucrée et avait une saveur prononcée de blanc d’œuf (normal vu que ce n'était pas cuit pour garder son moelleux)

Maintenant LE test !

Au fond les huesos de santo (les os de saint) et devant les opnis (objet pâtissier non identifié)
Donc pour les opnis, j'ai choisi 4 saveurs : violette (spécialement pour Virginie), citron, amande et chocolat au lait.

On commence par amande.


Avant même le test gustatif, à l’œil on voit tout de suite qu'IL NE S'AGIT EN AUCUN CAS DE MACARON !! Nous continuerons donc à les appeler opnis.
Les opnis sont donc constitués de 2 coques fines (de quoi??) fourrées ici au chocolat au lait.
Macho ibérico a accepté de jouer le jeu et de tester avec moi (sachant qu'il n'aime pas les macarons, les vrais ). 
En bouche on constate que les coques sont faite en sucre, ça ressemblait d'ailleurs à de la pâte à sucre. Pas de saveur particulière juste des colorants. La ganache est parfumée légèrement à l'amande amère. Pas de quoi fouetter un chameau... Avis espagnol mitigé.

Passons à la violette

Tout pareil, La ganache de chocolat noir est par contre très (trop?) parfumée à la violette. Il faut savoir qu'une des spécialités de Madrid est le bonbon à la violette. Déjà que je suis pas fan, pour le coup j'ai pas du tout aimé. Un "beurk" du côté espagnol qui n'a même pas fini sa moitié.

Test suivant, le citron


En le voyant avec son petit chocolat blanc j'avais bon espoir. C'était sans compter sur le bon goût chimique du citron. Mais ça reste pour l'instant le moins mauvais (impossible dans un cas comme celui là d'utiliser "meilleur"). Le deuxième testeur est sur le point de renoncer à goûter le dernier tant il trouve ça mauvais...

Et finalement chocolat au lait


Là pas de surprise au niveau du goût. Une ganache au chocolat au lait tout à fait acceptable ! Verdict espagnol : il aura fallu en goûter 4 pour avoir un de bon. Je suis on ne peut plus d'accord.
C'est honteux par contre d'avoir osé appeler ça "Véritable macaron français" et ce n'est pas un produit à la hauteur de ce que peut faire La Mallorquina. Par contre je savais que ça serait dégeulasse donc de ce point de vue je n'ai absolument pas été déçue !

Aller un petit dernier pour la route


Le hueso de santo. C'est un espèce de gnocchi de pâte d'amande fourré à différents parfums : praliné (celui que j'ai testé), fraise, chocolat, jaune d'oeuf et patate douce.
Là, je suis saturée de sucre, donc je n'ai goûté que le praliné.
C'est très doux très sucré et si tu n'aimes pas la pâte d'amande passe ton chemin. Cela dit on sent bien que ce sont des produits de qualité, la pâte d'amande est bonne et le praliné excellent.

Maintenant je vous laisse je vais vomir ou dormir, je sais pas bien encore...


jeudi 16 octobre 2014

Les aventuriers de la pâte feuilletée perdue !

Ceux qui me connaissent savent que j'aime cuisiner et il est très étrange que je ne parle pas plus de bouffe ici !
Quand je suis arrivée l'année dernière je pensais que vu la distance entre la France et l'Espagne, je n'aurais aucun mal à trouver des produits de consommation courante. C'est vrai pour certains mais pas pour tous. Depuis que j'ai déménagé et que je fais mes courses dans l'hyper d'Edouard L ça va mieux, je retrouve les produits venant de France avec juste une étiquette collée dessus en espagnol.
Hors marque distributeur (et produits tels que le fromage français), voici une liste non exhaustive des produits qu'on ne trouve pas ou difficilement ici, mais aussi de produits qu'on ne trouve pas en France et pourtant très courants en Espagne. J'invite François, Jean-Philippe, Sophie, Jean-Claude, Lisa, Gina et les autres à me faire part de leurs observations :)
On trouve difficilement de la pâte feuilleté  et encore plus difficilement de la pâte feuilletée pur beurre (oui je pourrais la faire mais suis pas équipée et pas forcément le temps non plus) par contre on trouve de la pâte pour faire des empanadas !
Pas de lardons crus en barquette ! Ils sont cuits, mais on trouve du bacon en lamelle cru et dans les hypermarchés il y a des mini caves à jambon et du lomo !!
Pas de yaourt avec des vrais morceaux de fruits dedans (info à vérifier, je crois que la marque qui fournit Mercad*na fait ce type de produits) mais des yaourts aromatisés et colorés: jaune pour ceux à la banane et au citron, rose pour la fraise, miam !
[EDIT] On me confirme dans l'oreillette que les yaourts de la marque Mercad*na contiennent des vrais morceaux de fruits ! Mais également qu'on trouve les yaourts actifs "qui font du bien à l'intérieur" ;)
Pas de sirop ! C'est pas qu'on en consomme tous les jours mais avec de l'eau gazeuse l'été c'est quand même pas mal.
Pas de crème de marrons digne de ce nom, celle qu'on trouve ressemble d'avantage à la confiture de châtaigne.
Accroche-toi aussi pour trouver du riz sauvage ou complet, c'est difficile mais pas impossible ! Par contre du riz spécial paella en veux-tu en voilà !
La crème fraîche épaisse et le fromage blanc ne sont pas non plus très en vogue par ici et il n'y a pas autant de variétés de beurre. On sent bien que, dans les champs, il y a des oliviers et pas des vaches ! Par contre on trouve de la cuajada, ça se présente comme un yaourt et c'est du lait caillé.
Pas de pain au chocolat ! Il y a un truc similaire fourré à la crème au chocolat, ou pâtissière ou version salée jambon-fromage qui s'appelle le napolitain.
Je suis sûre qu'il y en a d'autres mais là comme ça c'est tout ce qui me vient à l'esprit. Je mettrai à jour avec les contributions reçues et/ou s'il me vient une idée.
Bon appétit !

[EDIT] : Une épicerie française aurait ouvert vers Anton Martin. Je vais aller y faire un tour...





lundi 22 septembre 2014

Le coiffeur espagnol, troisième essai.

Souvenez-vous, l'année dernière (en avril je crois) j'avais tenté pour la première fois d'aller chez le coiffeur à Madrid. "On coupe juste les pointes et une frange légère" et BAM je m'étais retrouvée dans la peau de la fille de Mireille Mathieu !
Conclusion : en France comme en Espagne, quand je dis "juste les pointes", le coiffeur comprend "au moins 20 centimètres!" et pour la frange... Ben en fait il comprend ce qu'il veut...

Deuxième essai en octobre l'année dernière. J'avais amené une photo de ce que je voulais (une coupe au dessus des épaules avec quelques mèches). La coiffeuse "vous êtes sûre de vouloir couper autant? parce que je vais couper 50 centimètres de cheveux"
Conclusion n°2 : en France comme en Espagne, les coiffeurs ne comprennent pas quand tu veux juste couper les pointes, et quand tu as des cheveux de princesse ils rechignent à te les couper ! 

Troisième essai ce matin. Mon shampoing doit contenir de l'engrais car j'avais de nouveau les cheveux longs, milieu du dos. J'avais acheté un groupon, à un prix très raisonnable, donc on change de coiffeur. En arrivant, je sors ma petite photo de mon sac (coupe plus courte que l'année dernière) et là je tombe sur une coiffeuse sous extasie ! "Wouah mais c'est super, ça va t'aller hyper bien, mieux que les cheveux longs ! Je te propose même de faire une mèche plus courte devant sans faire de frange." Enfin une qui a tout compris !!!! Donc on commence par quelques mèches pour illuminer mon châtain. "Ah mais tu avais déjà fait des mèches, mais ça fait un bon moment dis donc, au moins 2 ans non?" 11 mois. J'ai lu sur son visage la descente post extasie ;)
On colore, on attend, on rince, on lave, on fait un masque, on rince de nouveau et c'est parti pour la coupe. J'ai toujours un peu peur depuis qu'une fois à Paris (la seule fois où je n'avais pas été chez ma coiffeuse dans le sud), j'étais tombée sur une crétine qui n'avait rien compris à ce que je voulais et qui s'en foutait que je n'aime pas mais alors pas du tout ce qu'elle avait fait !! Mais là elle a pigé exactement ce que je voulais. Elle a même pris des photos tellement elle était fière de son oeuvre et doit me les envoyer. 
Conclusion : j'aime ma coiffeuse !
Bon ok c'est court et j'ai la sensation d'avoir perdu un kilo de cheveux (au pied du fauteuil, le tas de cheveux ressemblait à un petit chien mort !!!) mais j'aime beaucoup et le macho ibérique à l'humour pourri aussi: "t'as moins de cheveux mais toujours aussi mauvais caractère!"

samedi 30 août 2014

Verano Verano

Samedi 30 août, l'été n'est pas fini mais faisons un petit point des événements sous la chaleur madrilène.
Comme d'habitude on a fait plein de trucs !
Nous avions terminé le printemps en allant faire un tour aux Canaries, histoire de prendre un peu d'avance sur l'été. Nous étions à Tenerife. Nous n'y sommes pas allés pour griller sur les plages, donc nous avons évité le sud de l'île. (On y a été un après-midi et c'était tellement moche qu'on est repartis au bout de 2 heures). Par contre je vous conseille fortement le nord de l'île et le SPA de l'hôtel :)

(le vue depuis la chambre)

Le village de Garachico au nord de l'île.


Ensuite pour bien commencer l'été nous sommes partis un week-end à Porto. C'est pas très grand mais vraiment très beau!
Je vous le conseille aussi, on y mange bien, les gens sont sympas et la ville est très agréable.


Et comme le macho ibérique rêvait d'aller à Paris nous y avons fait un saut de puce les 3 seuls jours de l'été où il y a fait beau (oui je suis mauvaise mais je m'en fous ;) ) Nous avons fait les principaux points d'intérêt et l'inévitable balade en bateau mouche qui nous a permis d'admirer les parisiens et leur style inimitable en train de bronzer à Paris-Plage...


J'en profite aussi pour signaler que sur 3 jours dans la capitale des cons et du harcèlement de rue (oui parce quand à 8h du matin, en prenant le métro pour te rendre chez le gynéco, un espèce de crétin à l'haleine de merde te sort "toi avec ton éventail et tes nichons t'es parfaite pour une branlette espagnole" t'as juste envie de passer la ville au napalm), j'ai réussi à être malade comme un chien pendant 2 jours. donc je confirme : Paris vraiment c'est pas pour moi !

Retour dans le sud pour profiter du beau temps, de la piscine et se balader...

(Bormes les mimomas)

De retour dans la ville de mon cœur,  nous avons eu la visite de mon cher Fred le week-end du 15 août. Nous en avons profité , entre autre, pour aller à cette fête de quartier que j'aime tant : la virgen de la Paloma !
Cette année on était super bien placés pour voir ça !



Et puis on a fait un petit tour plus au nord. C'est très beau aussi ! (Je ne pense pas avoir dit du mal d'une seule ville d'Espagne... Ah si peut être Barcelone. Mais là bas ce ne sont pas les monuments qui ne me plaisent pas mais les touristes :) )

 La casa Botines de Gaudi à Leon.

 La péninsule de la Madeleine à Santander

La cathédrale de Burgos

Retour à Madrid, avec sa chaleur accablante que j'aime tant, son fleuve au bord duquel je me promène tôt le matin... J'ai eu le grand bonheur de revoir une amie perdue de vue depuis 4 ans venue pour le boulot et c'est avec un grand plaisir que je lui ai fait visiter ma ville et l'ai initié aux spécialités culinaires espagnoles ! Comme toujours, j'attends les prochaines visites avec impatience :) 




mardi 22 juillet 2014

Nom, prénom, problème...

Oui oui je sais encore silence radio. mais après l'accident, il y a eu le petit break aux Canaries, puis la reprise des activités routinières et un petit week-end à Porto et nous voici le 23 juillet, jour de mon retour en France pour quelques jours. 
Entre temps j'ai été contactée par la banque, ma compagnie de téléphone, l'assurance de la voiture suite à l'accident. Et systématiquement je suis confrontée à la même question "si, hola puedo hablar con Marguerite C.?" (pour les non-hispanophones, "oui bonjour, puis-je parler à Marguerite C.?")
Les premières fois cela m'a laissé plus que perplexe dans la mesure où Marguerite est mon troisième prénom !!! Mais ici avoir 3 prénoms c'est en avoir 2 de trop, et un seul nom de famille au lieu de 2 je vous raconte pas.
Donc après avoir expliqué à plusieurs reprises que "non je m'appelle Céline, je ne réponds pas quand on m'appelle Marguerite, et je vous prierais s'il vous plait de le noter une bonne fois pour toute dans mon dossier" j'ai regardé par curiosité ma carte de métro (le truc qu'on regarde jamais une fois qu'on a vu la tête qu'on a sur la photo" et là horreur et damnation !!!

Trop de prénoms pas assez de nom et me voilà avec mon nom de famille en guise de prénom et Céline Marguerite comme noms de famille. Moi je dis bravo Metro de Madrid ;)

Sinon tout va bien, quelques vagues de chaleur à 38 degrés à l'ombre mais sinon nous sommes plutôt aux alentours de 31, pas super chaud quoi.
Nous avions eu l'idée farfelue de mettre une mini piscine dans le salon s'il faisait chaud comme l'année dernière, mais l'arrivée du climatiseur et le fait que nous n'étions pas sûrs que le plancher puisse supporter le poids de l'eau sans créer un dégât des eaux (sait-on jamais) ou que la piscine se retrouve à l'étage en dessous, ben on a laissé tomber. C'est dommage, l'idée me paraissait pourtant excellente !